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 De l'autre côté (titre provisoir)

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Admin-dadadele-stella
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De l'autre côté (titre provisoir) Empty
MessageSujet: De l'autre côté (titre provisoir)   De l'autre côté (titre provisoir) Icon_minitimeDim 7 Oct - 20:38

Je ne vais pas mettre toute l'histoire car c'est mon futur roman que je compte publier lol^^

Mais je vais vous mettre le prologue et vous me direz se que vous en pensez

Prologue

C’était sur la N78, c’était la nuit, c’était le noir. Mélodie, elle était comme les autres de son age, elle avait les mêmes quiétudes, les mêmes envies la seule chose qui la différenciait était son cœur, il était pur. Jamais elle ne faisait de mal, jamais de sarcasme ou de vilaine « pic » de la gentillesse sans demander de reste, de la simple bonté. Elle avait 16 ans, trop jeune pour partir. Elle a laissé un vide derrière elle, car même si elle était discrète dans ses gestes, dans sa gentillesse, on savait que c’était elle…Son sourire dévoilait déjà tout, son envie de vivre, sa joie, sa bon humeur, sa tendresse et sa politesse. Son regard était profond et sincère, le brun de ses yeux était intense…Son innocence d’une petite femme était unique dans son genre. Elle ressemblait aux autres mais pourtant elle était bien différente. Elle avait sa personnalité, ses projet bien à elle, mais elle était aussi comme les autres : elle aimait de temps en temps sortir même si elle préférait d’autre choses, elle aimait danser, elle aimait chanter, elle aimait vivre ! Sa voix était mélodieuse, magique…elle voulait être chanteuse. Sa grâce en danse rendait sa prof folle, qui aurait pu croire qu’une jeune fille pourtant à la même apparence des autres est si douée en expression. Si personne ne courrait avec elle c’est parce qu’ils avaient peur. Peur de quoi ? De son innocence, de sa pureté…Elle était donc grande et mince à la peau blanche légèrement rosée au niveau des joues. Quand elle marchait on aurait pu croire qu’elle valsait, qu’elle dansait, ou même qu’elle ne touchait pas le sol. Elle était aussi intelligente, peut être trop pour les autres, mais elle ne pouvait s’empêché d’être avide de savoir. La main au cœur qu’elle avait notre tendre Mélodie. Oui, c’est la Mélodie de tout le monde, la votre, la mienne.

Elle était donc sur cette N78 dans une petite voiture rouge, vieille et délabré. Elle tenait le volant entre ses doigts légèrement crispés, qui ne l’auraient pas été ? La nuit était noir, la brume épaisse, on ne voyait rien à plus de 10 mètres. Enfin bon, elle était donc au volant, jetant de temps en temps son regard sur ces « amis » ou plutôt connaissance. Ils avaient tous bu, certains endormis, d’autres disant des conneries. Elle, notre Mélodie, s’assurait qu’ils allaient bien, qu’ils n’avaient pas de problème. Quel tâche ingrate. Elle préférait se balader tôt le matin au parc, quand la rosée est encore là que de sortir, mais fallait un ou plutôt une sobre. Si elle a été sélectionné c’est seulement parce que les autres n’auraient pas tenu et auraient bu. Mais elle, ils savaient qu’elle ne boirait pas. Alors ils lui ont demandé…une des rares fois où ils on daigné lui parler. En faite, pour résumer, ils ne vont à elle que si ils en ont besoin. Et elle comme une enfant qui ne sait pas dire non, elle accepte leur demande, elle les aident, elle les conduit là ils leur vie les mène, elle les écoute quand tout va mal, elle est la fille qui remplace ou qui n’est utile que dans certains cas. Et a chaque fois elle est présente, elle là, au post, comme une servante…mais malgré cela elle est heureuse, elle reste fidèle à son devoir, cela la rend heureuse, cela provoque en elle un bonheur immense. Personne ne saurait comprendre exactement pourquoi.

Donc, lors de la fête où elle avait été invitée pour faire bob, elle était resté isolée, au plutôt rejeté. Mais elle ne semblait pas le remarquer ou peut être qu’elle était protégée par une puissance. Enfin bon, elle était à l’écart, et pendant ce temps, les autres plaisantait, s’embrassait, riait, buvait, fumait et dansait enfin ceux qui tenaient encore debout. Elle, elle était donc resté dans le coin qu’on lui avait donné, à attendre qu’ils en aient marre ou qu’ils soient complètement soul. Elle observait le monde qui était autour d’elle, elle y voyait le bonheur et donc elle avait le bonheur. Car pour elle voir le bonheur c’est être le bonheur.

Depuis toute jeune déjà, elle aimait le monde. Elle aimait les animaux qu’elle trouvait blessé, même les serpents, même les renardeaux, chaque être en faite. Elle embrassait la nature, la pluie et le soleil, le feu comme la rivière la passionnait, son entourage. Elle restait silencieuse à observer chaque élément de la vie. De la petite graine que sa mère mettait dans un pot en plastique, au vieux pommier de son jardin, de l’océan à la rivière, de la vie à …rien d’autre. La mort ne l’a jamais attirée, elle ne la jamais connue aussi. Sa vie avait été sans vague ni bouleversement sans tournant, un destin ou plutôt un chemin droit…

D’où a-t-elle cette façon de vivre ? De sa famille ? N’en soyez pas sur. Son père est ivrogne, colérique, irritable, mieux vaut ne pas lui parler. Sa mère…comment la définir…elle est mère au foyer, elle fait tout comme ça doit être, ça là et ceci ici, elle aime ces enfants car elle doit les aimer comme chaque mère, elle nourrit ces enfants car c’est le devoir d’une mère, elle montre qu’elle est une mère parfaite sans défaut mais enfaîte elle a le plus gros du monde, sa vie, ses sentiment son pas réelle, elle ne montre que se qui doit être montrer, elle a une façade et derrière elle ne montre rien, elle dit aimer ses enfants mais c’est faux car elle n’éprouve rien pour eux elle le fait pour être ou plutôt pour respecter son devoir de mère, de maman, de femme au foyer. Son frère, elle ne l’a jamais vu, il a été pris dès la naissance pour des soins spéciaux. Supposez donc que si elle est comme ça, c’est que c’est une force qui l’a choisie.

La force de la création. La force a donc décidez qu’elle serait l’être le plus Aimable au monde, qu’elle serait la protectrice, qu’elle serait le cœur pur du millénaire. Qu’elle serait destinée à vivre pour les autres, mais ne soyez pas triste ! Elle est heureuse comme ça, c’est voir les autre heureux qui lui donne cette vitalité…elle dépens des autres pour vivre.

La force devait être malade pour ne pas avoir protégé Le cœur pur ou peut être trop occupé ou alors peut être était elle obligé de laisser cela arriver.
Dans la brume de la nuit noire, la voiture rouge avance. Mélodie avait pourtant bien veillez à tout, elle avait allumer ses grands phares, elle était sur sa bande, elle n’allait ni trop vite ni trop lentement, elle respectait tout ! Mais pourtant, une voiture bleue marine arriva en face d’elle. A ce moment elle avait deux solutions qui s’offrait à elle…La première, celle que tout le monde aurait fait était de partir sur la gauche : cela aurait sauvé Mélodie mais ses camarade eux aurait péri. L’autre solution, la solution du sacrifice, si elle allait à droite, elle s’enfonçait dans le chêne, uniquement elle mourrait, car ses amis, eux n’aurait aucun obstacle face à eux, ils seraient tous vivant, ils auraient tous ce privilège qu’est la vie. Mélodie n’hésita pas, se sauver ne l’intéressait pas, son bonheur était celui des autres, elle était dépendante, elle était un cœur pur.

Elle donna donc un coup de volant et alla se buter contre l’arbre, le gros chêne. Sa voiture s’enfonça dans celui-ci, le côté conducteur était complètement détruit, et donc Mélodie était coincée entre sa voiture et le gros chêne mais en plus il y avait quelques bouts de ferrailles qui était rentré dans son ventre, et au niveau des jambe elle avait une atroce douleur. Les autres qui ont donc eu aucun choc son vite sorti. Ils ont vu Mélodie, les yeux à demi clos, une main ensanglantée tendue vers eux…mais aucun ne c’est avancé, même pas pour lui dire adieu…

La sirène d’ambulance retentit au loin, les secours arrivent, ils viennent peut être la sauvée. Ils descendent de l’ambulance, regarde son regard, elle ne les implore pas, elle ne pleur pas, elle les regarde de son doux regard, celui ou on lit la joie, celui où ont comprend qu’elle est heureuse. Pourtant, de sa tête, des gouttes de sang jaillissent et de sa bouche s’écoule un long filet de sang. Mais même à l’agonie, elle ouvre encore sa fine bouche pour articuler ces quelques mots, ces derniers, ceux qu’on n’oublie pas, ceux qui vous résonne dans la tête toute votre vie : « Je suis heureuse »

La secouriste ne savait que répondre, son souffle était coupé. Mélodie allait mourir, mais pourtant elle était heureuse. Les secouristes tentèrent malgré tout de l’extirper de la voiture. Mais la mort est plus rapide, elle la prise et la emmenée loin. C’est trop tard, elle quitte déjà son corps.
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